Kisangani/Ingérence de Jeff Saile sous couvert de Baromètre dans la vente des immeubles qualifiée d’illégale et du bradage par la CODIS, mise au point musclée de Serge Akafomo
Touchée par la mythomanie manifeste d’un type au mercantilisme qui dérange se cachant derrière un média pour exercer la sale besogne d’injures faciles, de calomnies et de dénigrements contre les personnes respectables, la CODIS dénonce avec véhémence cette pratique d’un média en ligne édité de Kinshasa dénommé Le Baromètre pour péter les plombs et débiter des inepties à partir de 2000 km sur des faits de Kisangani sans vérifier ni faire le recoupement parce qu’il faut, selon la CODIS, justifier à tout prix les miettes ou les espèces sonnantes et trébuchantes glissées comme des offrandes dans la gibecière de l’église Le Baromètre au mépris de l’éthique et de la déontologie du journaliste de ce grand Congo, pourtant, un État de Droit.
Pour rappel, dans son article intitulé : “Immeuble Rivoli à Kisangani : Madeleine Nikomba se mêle dans une affaire familiale pour protéger l’escroc Serge Akafomo”, Le Baromètre a encore pété les plombs en citant inutilement, abusivement et sans preuves, le nom de la Gouverneure Madeleine Nikomba en se permettant de traiter le Responsable de la CODIS Serge Akafomo d’escroc sans réfléchir sur les effets répressifs de la loi congolaise.
Dans sa littérature, ce média s’est plongé dans une affaire qu’il ne maîtrise pas du tout.
Par quelle magie une Gouverneure peut-elle s’ingérer dan la vente d’un immeuble d’une coopérative ou d’un individu ? Ici, il n’est un secret pour personne quant au mode opératoire de Jeff Saile et son Baromètre : Il sollicite un partenariat avec un montant faramineux. Si vous hésitez ou vous ne trouvez pas ça opportun, monsieur tourne l’épée. Pendant qu’il sollicitait le partenariat pour faire des éloges et des publi-reportages, si ce n’est pas scellé, il commence à insulter à longueur des journées dans ce Baromètre.
Il l’a fait avec beaucoup d’autorités de Kisangani notamment Augustin Osumaka, Jean-Louis alors Maire de la ville, Walle Lufungula alors Gouverneur. Avec Maurice Abibu Sakapela ils avaient bien commencé pendant qu’il était Gouverneur intérimaire parce qu’il gagnait un peu des Francs congolais. Le jour où Abibu s’est senti en difficulté de le payer, il lui a rendu la monnaie de la pièce. Aujourd’hui, même mode opératoire avec la Gouverneure Madeleine Nikomba Sabangu une juriste avérée, une Gouverneure qui pourtant se distingue par ses actions et son mode de gestion.
Mise au point
En réalité, la succession Akafomo n’existe plus dans la famille d’Antoine Akafomo Mongo d’heureuse mémoire. La succession était vidée par la présence d’un testament légué par le patriarche Antoine Akafomo Mongo qui avait partagé tous ses biens qu’il a eu durant toute sa vie. Sur base de ce testament, il a eu à attribuer à tous ses 26 enfants un patrimoine, y compris Serge Akafomo. A ce niveau, le testament était vidé et la succession s’est arrêtée là.
En effet, papa Antoine Akafomo faisait partie de la CODIS, Coopérative de Développement Communautaire d’Isangi. Dans cette coopérative, Antoine Akafomo Mongo n’avait que 2% de part. A la grande surprise de la Coopérative, il a été remarqué que les enfants du feu Antoine Akafomo ont eu à tricher à partir de Kinshasa pour se faire fabriquer les documents de quelques immeubles appartenant à la Coopérative. Pourquoi le faire à Kinshasa au lieu de Kisangani ? Il n’y a pas un crime parfait.
Selon les sources de la CODIS, ils avaient d’abord volé les documents de la CODIS, ensuite, fabriquer des faux documents des imeubles portant le nom de la coopérative. Ce n’est qu’à partir de là que les fossoyeurs ont commencé à vendre les biens de la CODIS sans foi ni loi.
D’abord, un immeuble vers le marché central de Kisangani portant numéro SU277 vendu à M. Palos. Comme si cela ne suffisait pas, ils ont vendu un autre immeuble vers le quartier des musiciens en face du Lycée Technique Mapendano portant le numéro SU 888.
Pendant le confinement, ils ont entamé une autre vente de la maison qui est en face de la prison centrale de Kisangani. C’est l’immeuble qui pose problème aujourd’hui. Un immeuble d’une grande valeur, mais bradé par les gens qui n’en ont même pas qualité. Le faux acheteur se déplace avec ses avocats à l’insue de la coopérative pour corrompre les frères et entamer la vente sans titre ni droit. Contre toutes ces démarches, en tant que Responsable numéro un, mieux, Président du Conseil de Gestion de la CODIS Serge Akafomo s’est interposé pour barrer la route à la mafia. En tant que coopérateur, Akafomo et tous les coopérateurs sont surpris d’apprendre que la maison est vendue par les enfants du feu papa Antoine Akafomo Mongo d’heureuse mémoire, paix à son âme, pourtant, il n’a jamais mis ces biens ni dans le testament ni moins en vente. Pour l’honneur de sa contrée, il les a plutôt mis à la disposition de la Coopérative CODIS, notamment cet immeuble qui se trouve en face de la prison centrale de Kisangani avec le numéro SU 1102. L’opposition de Serge Akafomo a bloqué la machine entre les enfants de Antoine Akafomo prétendus vendeur et M. Palos prétendu acheteur. Pendant ce temps, le prétendu acheteur fait pression pour récupérer le bien.
Non sans surprise, les frères d’Akafomo vont faire un voyage de Kinshasa à Kisangani. Objectif, vouloir occuper sans titre ni droit l’immeuble qui est abrité par les locataires qui pourtant sont en ordre. Une manœuvre qu’ils ont tenté d’utiliser pour faire entrer le prétendu acheteur dans la maison et lui céder carrément l’immeuble en qualité de propriétaire. C’était sans compter avec la fermeté de Serge Akafomo qui s’est interposé au nom de la CODIS.
Au stade actuel, la CODIS a attaqué tous les faux documents.
Avec cette mise au point, on se pose la question sur la sériosité de Jeff Saile et son Baromètre. A suivre.
MM.
