Kisangani/Ôte-toi que je m’y mette, une sale des politiques qui gangrène l’ESU : Après Ibtp, ISEA Bengamisa, à présent, l’ISC dans les viseurs
Cette pire et sale des politiques prend petit-à-petit corps à travers les institutions supérieures et universitaires à travers la ville de Kisangani.
Les cas sont légions. Les plus récents sont ceux enregistrés à l’IBTP avec la manipulation d’une poignée d’étudiants s’en prenant au comité de gestion jusqu’à le faire tomber et à l’ISEA Bengamisa où le DG était objet de fausses accusations à longueur de journées par certains enseignants.
Cette pratique diabolique est en train de frapper déjà l’Institut Supérieur de Commerce, ISC/Kisangani, oeuvre de certaines personnalités enseignantes facilement identifiables. Malheureusement, une pratique mal concoctée, mal orientée car, les tireurs de ficelles avaient cherché leurs répondants dans la coordination des étudiants oubliant que beaucoup de ses membres étaient intelligents, intellectuels et mûrs pour céder à une imposture moyenâgeuse.
Ainsi, en date du jeudi 23 juin 2022, le Représentant des étudiants de l’ISC et Président de la Coordination des étudiants, Monsieur Mokita Cane Jonathan avait convoqué une réunion regroupant tous les membres de son gouvernement et tous les chefs de promotion.
Tous les invités savaient que l’objet de la réunion était la conscientisation de toute l’équipe à travailler main dans la main et à bien collaborer avec les autorités académiques pour la bonne marche des activités académiques, défendre les causes des étudiants et mettre en place les stratégies pour sécuriser le milieu estudiantin partant de récentes élections qui ne s’étaient tenues qu’en date du 26 mai 2022.
A la grande surprise générale, le Président de Coordination, Monsieur Mokita Cane Jonathan, dans son discours, avait plutôt, sans consulter les membres, fomenté les allégations graves, gratuites et mensongères en l’endroit de certains professeurs et des autorités académiques qui venaient de les investir il n’y a même pas deux semaines.
Ce qui a plus tiqué tout averti est qu’aussitôt lu, son texte a été balancé dans les réseaux sociaux avec une vitesse de croisière à l’insu d’autres membres de sa Coordination.
Ceci lui a attiré toute la colère d’autres membres de la Coordination qui n’ont pas tardé de se désolidariser de sa démarche machiavélique, de le désavouer jusqu’à arriver au point de demander au comité de gestion de réorganiser les élections car, Monsieur Mokita Cane Jonathan ne mérite pas de gérer les étudiants d’une si grande institution de l’ESU qui fait la fierté de la Grande Orientale, mieux, de la RDC.
Les Chefs de promotion titulaires et adjoints ont quant à eux, dénoncer le fait que le Coordonnateur se soit appuyé sur leur liste des présences, pourtant piégés par un discours imposteur.
Sur ce, ils ont déclaré le départ immédiat de tout ce gouvernement pour que l’image de l’ISC ne soit plus ternie, procéder à l’organisation par le Comité de gestion de l’élection du nouveau Représentant en remplacement de Monsieur Mokita Cane.
Pendant ce temps, dans une déclaration écrite, les nouveaux membres du gouvernement à savoir, ministres et commandants ont dénoncé ce qu’ils on qualifié de malice et manipulation de tireurs de ficelles en mal de positionnement qui auraient poussés le Représentant à poser pareil acte, surtout à publier des faussées dans les réseaux sociaux, pourtant aucun ministre ni commandant n’a participé à la rédaction de ce texte qui du reste, était contradictoire avec l’objet de la réunion. Ils ont prouvé leur innocence et ont rassuré que ledit texte n’engage que son auteur.
Par ailleurs, dans une mise au point, le Représentant adjoint des étudiants Monsieur Mwevi Mukala Jean rappelle à Monsieur Mokita Cane Jonathan qu’être Représentant des étudiants ne fait pas d’eux des opposants du comité de gestion, mais plutôt des partenaires au service des autres.
Signalons que ce qui fâche ses collègues est résumé en trois petits points : D’abord, le problème de droit d’auteur, la difficulté d’utiliser le laboratoire informatique suite au problème d’électricité et les biens des institutions.
Des allégations infondées et légères, selon les collègues de Mokita Cane parce que le Comité de gestion de l’ISC sous le leadership du Professeur Faustin Bolingola respecte à la lettre les instructions du Ministre national de l’ESU Muhindo Nzangi, ensuite, le problème de l’électricité dans la ville de Kisangani étant général il est clair qu’il s’agit là d’un faux débat, mais plutôt chercher à satisfaire les maîtres à penser au mépris des réalisations faites par ce fils maison qu’est le Professeur Jean-Faustin Bolingola. Peine perdue.
Bref aperçu sur les traces de Jean-Faustin Bolingola en ses 5 ans d’un règne digne et mérité.
Dans son actif, le professeur Jean-Faustin Bolingola a offert un bâtiment aux services de finances et les conditions de travail y sont assurées telles que recommandées. Sur fonds propre, grâce à la politique d’orthodoxie financière, le Directeur Général de l’ISC Bolingola a modernisé le home des étudiants de son alma mater à la grande satisfaction des étudiants et des parents des étudiants, contrairement à l’ancien temps caractérisé par une léthargie et absence d’initiatives. Aujourd’hui, ce fils-maison prouve que l’ISC avait formé maints étudiants, aujourd’hui professeurs, à même de sauver le meuble et hisser cette institution au rang des établissements plus que viables de la république.
Le Professeur Jean-Faustin Bolingola est un géant dans l’administration des établissements et ses 5 ans passés au sein de l’ISC/Kisangani sont une preuve éloquente au regard de son bilan élogieux bourré d’empruntes indélébiles, des réalisations incommensurables succinctement épinglés ci-dessus qui parleront à sa place.
Plus de détails relatifs au bilan Bolingola 5 ans, dans notre prochain numéro.
A suivre.
MM.
