Tshopo-Élections de Gouv et Gouvice/Situation politique tendue à la phase de contentieux, la Dynamique des Jeunes de la Société Civile tonne et apaise la population
Dans une mise au point lue devant la presse le jeudi 26 mai 2022 par Monsieur Gabriel Isaula Bonke au siège de la Société Civile Forces Vives, la Dynamique des Jeunes de la Société Civile Forces Vives s’est intéressé à l’environnement politique actuel de la Tshopo après les élections de Gouverneur et Vice-gouverneur à la Tshopo.
Selon cette Dynamique, il se remarque des groupes de personnes mal intentionnées, imbues de supériorité et d’orgueil politiques se réclamant qui, des communautés de base, qui, des jeunes de Kisangani et qui encore, des Chefs coutumiers etc., s’en prendre soit à l’un des candidats au deuxième tour, soit aux notables de la Tshopo.
A en croire la mise au point de la Dynamique des jeunes de la Société Civile Forces Vives, les cas les plus flagrants sont, d’une part, celui de Jean-Stanis Bilanga Monga Mwali qui, en date du 20 mai 2022, dans un maronier médiatique, sans mandat ni pouvoir, et accompagné des Chefs coutumiers montés de toutes pièces parce que sans juridictions, a eu l’audace de parler au nom des populations autochtones de la ville de Kisangani, d’autre part, la vidéo postée la nuit du mercredi au jeudi par quelques jeunes, vidéo dans laquelle ils vilipendent nommément les notables Jean-Pierre Daruwezi Mokombe, Gaston Musemena Bongala, Emilie Bongeli, James Bayukita Makula etc., pourtant certains de ces jeunes étaient soutenus par ces mêmes notables.
Ceci étant, la Dynamique des jeunes de la Société Civile Forces Vives donne sa mise au point en ces termes :
Tout en reconnaissant à toutes les filles et tous les fils de la Tshopo les droits les plus légitimes de s’aligner derrière tel ou tel autre candidat, la Dynamique fustige cependant, les attaques à la limite de l’injure lancées notamment contre quelques notables. Cette voie périlleuse jonchée de beaucoup d’embûches empruntée par certains jeunes ne promeut nullement la paix sociale tant souhaitée par tous. Un pardon s’impose donc face à ces agissements qui constituent ni plus, ni moins un déraillement.
Le pouvoir coutumier étant sacré, la place ancestrale Wagenia n’est pas un lieu pour des sorties médiatiques qui ne visent qu’à assouvir des appétits insatiables de positionnement politique et de recherche de lucre. Ainsi, ceux qui, au nom des peuples autochtones de la ville de Kisangani ou de leurs Chefs coutumiers tenteraient de violer ce lieu sacré en tireront les conséquences, a poursuivi la Dynamique, avant d’appeler la population au calme.
D’où, occasion pour la Dynamique des jeunes de la Société Civile Forces Vives d’appeler, en outre, la population tshopolaise de réparer l’histoire politique catastrophique de “kila mamba na kivuko yake” de tristement célèbre des années 1990 en se fondant sur la non-violence et le vivre-ensemble conformément aux lois de la république.
La Dynamique reste persuadée que la situation peut et doit être vécue par des moyens ne recourant pas à la menace ni à la chasse à l’homme, encore moins à la violence verbale aussi destructrice que celle tenue par certains fils et filles de la Tshopo et pense au contraire que le vrai discours à tenir est celui de l’inclusion, de la fédération des intelligences et des efforts pour le développement de la Tshopo.
A suivre.
MM.
Cet article fait la honte du journalisme en ligne de Kisangani. Parce que je lis dans cette information les faits confectionnés dans le but de prendre la défense d’un camp des candidats gouverneur et vice-gouverneur.
Quand vous parler de terme générique société civile forces vives sans nous dire concrètement qui ou quel responsable a parlé au nom de cette soi-disant société civile forces vives, vous pensez vraiment nous informer ?
Dans quelle circonstance, en quel lieu s’est-il prononcé ?
Cessez de rendre ce est indigeste aux internautes. Le journalisme se nourrit des faits et analyses. Pas de sentiments teintés de luttes inavouées.
Informez ce qui est.