Kisangani / Les vraies raisons de la diabolisation du PO Jean Otemikongo Mandefu à l’arrivée du Ministre de l’ESU Muhindo Nzangi : De quoi a-t-on peur ?
Kisangani / Les vraies raisons de la diabolisation du PO Jean Otemikongo Mandefu à l’arrivée du Ministre de l’ESU Muhindo Nzangi : De quoi a-t-on peur ?
Depuis 48 heures avant l’arrivée à Kisangani du Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire Muhindo Nzangi, le professeur Ordinaire Jean Otemikongo Mandefu fait objet d’une très forte campagne de diabolisation de la part d’une bande d’individus non autrement identifiés se faisant passer pour un Groupe d’intellectuels de l’ancienne province orientale.
La plus éhontée c’est ce tract anonyme qui circule dans les réseaux sociaux intitulé « Lettre ouverte au Ministre de l’ESU et membre du parti Ensemble Muhindo Nzangi ». Une pratique moyenâgeuse qui ne devrait pas caractériser ceux qui se disent intellectuels, scientifiques ou enseignants d’université.
A lire ces lignes, partant du titre, ça saute aux yeux qu’il s’agit d’une motivation qui tire son fondement dans la peur bleue assortie de l’imminente mise en place de différents comités de gestion des établissements de l’ESU dont l’Unikis qui, au regard de la vision du Ministre Muhindo Nzangi, parmi les personnes capables d’incarner sa vision dans cet alma mater figure le Professeur Ordinaire Jean Otemikongo Mandefu qui fait peur à ces individus suite à son intelligence, ses entrées dans les universités étrangères en tant point focal de l’assurance qualité en RDC et à l’Unikis qui pourtant, n’est contesté ni par ses détracteurs, ni par ses collègues.
Un titre (thème de la publication anonyme) qui semble opposer le ministre à la politique, pourtant, Muhindo Nzangi est très loin de politiser son secteur hautement apolitique.
Ces écrits non-signés qui frisent une lâcheté de la part de ses initiateurs (anonymes) citent injustement le grand notable de la Tshopo et grand homme politique de ce pays l’honorable Dieudonné Bolengetenge Balea dans les affaires de l’ESU, pourtant, ce dernier est très concentré dans les activités de son parti en sa qualité de Secrétaire Général de Ensemble pour la République. Une fausse accusation, selon nos sources.
Une stratégie qui renvoient à la projection qu’à la véritable accusation, car, poursuivent nos sources, il est à bien noter que c’est plutôt ces accusateurs qui étalent leur tribalisme et xénophobie contre le Professeur Ordinaire Jean Otemikongo Mandefu, un compatriote à une bonne mortalité, à la bonne citoyenneté et à l’amour de tous ses compatriotes sans discrimination. Son passé élogieux notamment à l’exécutif de la CEI/Tshopo en est un témoignage irréfutable. Ces lâches, n’étant pas capables de signer et d’assumer leurs insinuations, ils ont couché des qualifications simplistes, irreels contre la personne du Professeur Ordinaire Jean Otemikongo, pourtant un homme correct, objectif, honnête et rigoureux dans son être, dans son faire et dan son agir :
1) Ils parlent de conflictualité et de rancoeur : Y a-t-il vraiment un appareil pour démontrer la conflictualité ou la rancoeur chez un compatriote congolais ? S’interrogent nos sources.
Dans l’exercice de ses fonctions de doyen à la Faculté des Sciences Sociales, Administratives et Politiques, le Professeur Ordinaire Jean Otemikongo brille par sa rigueur, son objectivité, son honnêteté et sa guerre contre les anti valeurs telles que voulu par le gouvernement de la République. Tout ceci ne peut jamais être applaudit par ceux qui portent les germes de désordres, de la jungle et de l’immortalité.
2) Multi-récidiviste impénitent : Ici, il faut noter que le recteur honoraire, le Professeur Ordinaire Faustin Toengaho Lokundo avait compris le Professeur Otemikongo et l’avait encouragé plutôt d’aller de l’avant contrairement à la légèreté des partisans du désordre. Et Otemikongo travailla ainsi dans le respect des textes et du vad mecum.
3) Manque d’éthique : Facile de dire, difficile de prouver. Ici, les auteurs anonymes avaient peur, car, ils savaient qu’ils pourraient répondre de leurs balivernes devant la justice. Ainsi, personne n’est capable d’assumer cette boutade.
Ces trois points soulevés par ces individus anonymes dénotent de la calomnie et des accusations gratuites. La motivation c’est la peur de voir un homme rigoureux, travailleur, honnête et objectif présider à la destinée de l’Université de Kisangani, la troisième de la république, rien d’autre ne peut justifier ces bouts de phrases, ont conclu nos sources.
MM.