Tshopo/Cette vidéo montrant les Députés Makoka et Asinga n’engage en rien Doudou Fwamba, dixit Francy Bangala
La session budgétaire au sein de l’Assemblée provinciale de la Tshopo s’est annoncée tendue entre le Président de l’Assemblée provinciale et le Gouverneur de province, et ce, avant même l’ouverture de la session ordinaire.
Ainsi, une pétition a été initiée contre les membres du bureau, qui en sont sortis indemnes après un traitement conforme au Règlement d’ordre intérieur de l’Assemblée Provinciale. Est-ce Doudou Fwamba qui a financé les pétitionnaires ? s’interroge Francy Bangala, qui rejette en bloc cette comédie mise en scène dans la vidéo.
Dans un second temps, une motion de défiance est initiée contre le Gouverneur. On y voit alors Manou Makoka et Christian Asinga jubiler et scander, au nom du Paquebot, « kata ye mokila », comme pour dire : « coupe-lui la queue ».
Face à ce qu’il qualifie de comédie de mauvais goût, Francy Bangala Boyoma prend la parole au nom de ce digne fils du terroir et tient à rassurer que Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi n’est, ni de près ni de loin, impliqué dans une quelconque démarche visant à déstabiliser les institutions provinciales. Bien au contraire, il s’aligne sur la volonté du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui, à travers le VPM de l’Intérieur et Sécurité, Maître Jacquemin Shabani Lukoo, prône la stabilité des institutions.
En tant que membre du Gouvernement, il ne saurait en aucun cas aller à l’encontre du message officiel porté par le VPM de l’Intérieur.
Francy Bangala insiste : Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi est un homme de paix, d’unité et de développement. Il s’oppose fermement à toute forme de division et à la poursuite d’intérêts égoïstes, contraires à l’élan de développement.
Il ajoute qu’il n’a mandaté personne à la Tshopo pour quelque démarche que ce soit : Ni Député national, ni Député provincial, ni qui que ce soit. Toute personne se présentant en son nom doit être dénoncée et poursuivie en justice.
Doudou Fwamba est préoccupée par les réformes des finances publiques et non par la haine et la division, conclut-il.
CelCom Francy Bangala
























