Kisangani/Aux abois, certains prétendants à la succession de Jean Faustin Bongilo Boendi Recteur de l’Unikis sont agités par l’avènement de la nouvelle Ministre pour le diaboliser à tort

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Kisangani/Aux abois, certains prétendants à la succession de Jean Faustin Bongilo Boendi Recteur de l’Unikis sont agités par l’avènement de la nouvelle Ministre pour le diaboliser à tort

A sa troisième année de gestion de l’Université de Kisangani, le Professeur Ordinaire Jean Faustin Bongilo Boendi est très combattu par beaucoup d’individus connus et inconnus.

Avec l’avènement du nouveau Gouvernement qui a en son sein la Professeur Marie-Thérèse Safi Sombo comme Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, ESU.

Ainsi, il est malheureux de constater qu’ils ignorent les principes de continuité des affaires de l’État et tentent de saisir certains journalistes pour opposer la gestion du Professeur Ordinaire Jean Faustin Bongilo Boendi à la nouvelle Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Professeur Safi Sombo.

Un titre qui augure une intention de nuire avec un corps qui dit tout, sauf la vérité, un contenu inapproprié qui tire vers le bas un Recteur qui a pourtant brillé par des prouesses dans sa gestion.

D’aucuns n’ignorent que la nomination de Professeur Docteur Marie-Thérèse Safi Sombo est motivée par la volonté du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo de redresser le secteur de l’ESU.

Ces amoureux de la politique médiévale de ÔTE-TOI QUE JE M’Y METTE doivent éviter à l’actuelle Ministre ces genres de publications qui frisent les mensonges, la diffamation et les règlements de compte, car elle est une femme d’État.

Le Professeur Jean Faustin Bongilo est accusé de tous les maux d’Israël jusqu’à être qualifié, à tort, de piètre recteur, l’on ne sait sur base de quel sentiment qui les anime.

Dans leurs écrits infondés, ils vantent le professeur Toengaho en tirant sur le Professeur Bongilo, insinuant ainsi que l’Unikis serait devenue l’ombre d’elle-même pourtant tout se déroule sans problème, le comité de gestion peine à répondre aux attentes de la communauté scientifique : Une insulte pire et simple que la communauté scientifique de l’université de Kisangani refuse d’entendre car l’Unikis fait véritablement la fierté du pays en mettant à la disposition de la société des cadres universitaires très bien formés.

Là où ces détracteurs se contredisent honteusement c’est lorsque, sans vergogne, ils précisent que le Professeur Ordinaire Jean Faustin Bongilo est très bien entouré, mais il est le seul à faire preuve d’une incompétence notoire dans le comité de cet Alma Mater : Un averti, un érudit n’a pas besoin des lunettes pour voir le vrai problème. La politique de ÔTE-TOI QUE JE M’Y METTE les hante.

Ça saute aux yeux que c’est un jeu au profit d’un manipulateur, mieux, un agitateur à la quête du repositionnement, de la nomination en remplacement seulement du Professeur Ordinaire Jean Faustin Bongilo. Non, il y a mieux à faire lorsqu’on cherche un poste, c’est de se vendre, vanter ses capacités et non diaboliser les autres, les insulter, les dénigrer, les diffamer, les opposer à l’opinion et/ou à sa hiérarchie. C’est de la faiblesse d’esprit, une pratique surannée qui ridiculise toute une génération.

Ils insinuent dans leurs écrits que les grands professeurs vivant notamment en France, Belgique, Afrique du Sud et autres stoppent de donner cours : Un mensonge cousu au fil blanc. Personne n’ignore que lorsqu’un professeur termine sa charge horaire, après avoir examiné, il a le droit de rejoindre sa famille si celle-ci est dans les pays précités. Un faux-fuyant qui ne les ménage pas mais qui les met au ridicule devant la même opinion.

Sans mandat, ils se permettent de citer le nom d’un éminent Professeur dont je tais le nom par éthique, affirmant qu’il abandonne l’université. Que c’est grave !

Par rapport au paiement des frais académiques, les détracteurs doivent apaiser leur cholestérol, les frais académiques sont fixés par le Gouvernement de la République et rien n’est inventé par un Recteur, le Professeur Jean Faustin Bongilo soit-il. Ensuite, il faut savoir que plus d’un agents de la Banque se sont compromis en se lançant dans la fraude.

Il y en a qui s’entendaient avec certains étudiants pour qu’ils acceptent par exemple un bordereau de 700.000fc, mais ils ne vont verser que 200.000 FC : Un manque à gagner considérable pour l’Université de Kisangani. Cet acte a coûté l’emploi à beaucoup d’agents d’une banque de la place.

Il faut rappeler que l’année académique passée, beaucoup d’étudiants n’avaient pas payé à la Banque. Il a fallu créer un guichet sur place à l’Unikis, contenant en son sein, les agents de l’Unikis, ceux de la banque jusqu’à 14h, puis le versement intervient le lendemain matin à la Banque. En plus, l’université a un taux plus bas que l’on y pense.

*Quelques réalisations du Comité Bongilo*

Des réalisations sans interventions extérieures, il faut le rappeler. Il faut noter l’acquisition du premier scanner de l’Espace Oriental et fonctionne normalement. L’unité de dialyse est déjà au port de Matadi depuis le 28 mai 2024, d’ici-là, elle va arriver à Kisangani via Kinshasa. Grâce à sa capacité managériale, les cliniques universitaires ont maintenant l’imagerie médicale numérisée, sans oublier une usine de production d’oxygène et un laboratoire moderne à la pharmacie des cliniques universitaires.

Des actions très salutaires pour toute la région de la Grande Orientale qui épargnent à la population des dépenses faramineuses liées aux voyages pour des raisons sanitaires nécessitant le scanner, le dialyse, l’imagerie médicale ou certains examens approfondis.

Une pièce est en cours de construction, sous la gestion Bongilo, d’une bâtisse de 20 pièces pour les personnels scientifique, académique (des professeurs des facultés de Droit, Lettre, etc.). Le Rez-de-chaussée est déjà à sa phase finale, déjà meublé, bien équipé.

Il faut noter l’installation d’un détecteur qui renforce la sécurité au niveau du Batam.

Dans le souci de sécuriser le Batam, il faut noter la construction d’une clôture du Bâtiment Administratif et beaucoup d’autres réalisations de plusieurs ordres.

A ceci, il faut épingler la rigueur dans la gestion appliquée par le Recteur Jean Faustin Bongilo, ennemi des anti-valeurs, rigueur dans le respect des textes légaux, rigueur qui énerve beaucoup de membres des personnels scientifique, académique et ouvrier qui ne trouvent comme solution que son éviction à tout prix, même au prix des mensonges, des injures, des diffamations etc.

Le Professeur Ordinaire Jean Faustin Bongilo Boendi a payé les primes des agents plus de 8 fois l’année antérieure, l’année passée, 9 fois, l’année en cours, ils ont touché 6 fois avec perspective de toucher 12 fois.

A bas la haine.

Rédaction.

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