Tête-à-tête Blanchard Lumaliza-Noël Tshiani : Discussions houleuse autour de la loi dite Tshiani et éventuels amendements
Tête-à-tête Blanchard Lumaliza – Noël Tshiani : Discussions houleuses autour de la loi dite Tshiani et éventuels amendements
Mardi 13 juillet 2021, audience accordée à Kinshasa à Monsieur Blanchard Lumaliza Kalonda par Monsieur Noël Tshiani, initiateur d’une loi qui limite l’accès aux fonctions des postes de souveraineté et de hautes responsabilités en RDC, notamment, l’AG ANR, DG DGM, la Magistrature Suprême etc. aux seuls congolais nés de père et de mère de nationalité congolaise.
Une loi qui divise les opinions tant au niveau local, national qu’international où chacun son point de vue sa compréhension. En tant que patriote congolais, Blanchard Lumaliza à fait un développement de Kinshasa pour rencontrer l’initiateur et lui dire en face ce qu’est son point de vue.
Ces échanges étaient une belle occasion d’expliciter cette loi.
Les 100%, 75% et 25% sont tous des compatriotes congolais et éligibles pour tout poste dans le pays mais les fonctions de souveraineté comme la Présidence, l’AG de l’ANR, DG de la DGM, le Président de l’Assemblée nationale, le Président du sénat, les hauts gradés de l’Armée doivent revenir aux 100% pour protéger les intérêts de notre pays.
Les articles 10, 13 et 72 de la constitution de la RDC apportent assez de lumière sur ce débat dont l’issue pourrait être chaotique. Mais c’est insuffisant pour son initiateur.
Pour Monsieur Blanchard LUMALIZA, Président National de la FBL,, tout en saluant cette proposition de loi, elle n’est pas bien expliquée par les médias et a besoin d’un peu de retouche. D’où, il en a proposée quelques amendements.
Dans le même ordre d’idée, le Président National de la Fondation Blanchard LUMALIZA a proposé que la couleur de peau (métisse) ne puisse pas constituer un critère pour déterminer qui est congolais, qui ne l’est pas. Fort de son expérience acquise en Egypte, LUMALIZA a proposé qu’on fasse un test d’AND même de deux générations comme les égyptiens avaient fait pour quatre générations, afin de déterminer qui est congolais.
Il a enfin demandé qu’on réfléchisse sur les enfants qui sont de 75%, 50% et 25% mais nés en RDC.
Cellule de communication de la Fondation