Tshopo/Élections sénatoriales, enjeux politiques de l’heure, l’inoxydable Ernest Hans, un fruit mûr se pointe : Portrait de l’année
Nul n’ignore que les enjeux se resserrent en République Démocratique du Congo, la Tshopo n’est pas en reste. Les élections des Gouverneurs et Vice-gouverneurs d’une part, les élections des Sénateurs d’autre part.
Ces dernières intéressent au plus haut point Ernest Hans qui s’est porté candidat Sénateur pour représenter la Tshopo et défendre ses intérêts à la chambre haute du parlement congolais.
Un compatriote qui maîtrise bien la Tshopo. Il connaît très bien ses problèmes et quelles solutions proposer à tous problèmes dans tous les secteurs de la vie.
Il maîtrise bien le rôle qu’il a à jouer en tant que parlementaire au niveau de la Chambre Haute et promet de l’implémenter pendant la législature en cours une fois élu par les grands électeurs à savoir les honorables Députés Provinciaux.
Il est vraiment mûr, ce gentil homme au grand cœur. Près de deux ans aux côtés d’un Gouverneur de la province de la Tshopo, Ernest Hans a su se comporter en Homme d’État pour arracher non seulement la confiance de son Chef direct, mais aussi des personnes extra-cabinets car il savait jour un rôle de trait d’union entre l’autorité et la population sans distinction. Ceci a accru sa confiance auprès de l’autorité provinciale qui fera de lui Assistant du Gouverneur. Une fonction qui sanctionnait d’innombrables qualités d’une personnalité aux caractères dignes d’un véritable Homme d’État tant recherché dans le pré carré du Gouverneur.
Ce qui se manifeste toujours et se traduisant par son assiduité au travail, sa perspicacité qui prévient contre tout danger, qui découvre et fait découvrir ce qui peut échapper à plus d’un, son abnégation qui l’amène à une privation et à un sacrifice en vue d’un résultat satisfaisant, sa serviabilité et son altruisme qui l’amènent à ne pas résister à des sollicitations de ses semblables.
Toutes ces qualités lui confèrent d’une part, la confiance du Chef, de l’autre, la jalousie, la haine et des coups bas des hommes aux petits esprits se recrutant parmi ses détracteurs inutilement d’ailleurs.
Ces derniers se privent du sommeil, réfléchissant comment obtenir l’éviction d’un homme dont l’innocence n’a pas besoin de preuves.
Tout en leur rappelant que l’on ne fait pas à son prochain ce que l’on ne veut pas subir, nous leur promettons cette fois-ci que notre plume sera sur leurs traces, afin de mettre à la disposition du grand public ce qu’ils ont déjà causé comme préjudice à la province. Heureusement que leur cible à abattre est inoxydable et Impavide.
Ernest Hans, prototype d’un homme complet
Né dans une famille de 10 enfants (5filles et 5 garçons), Ernest Hans a bénéficié d’une éducation exemplaire des parents aimables, mais très sévères. Il a vu le jour à Bukavu et a fait ses études primaires d’abord à l’école primaire Nyalukemba située dans la commune d’Ibanda à Bukavu avant d’aller les terminer au Collège Alfajiri où il obtint son certificat. De là, Ernest Hans va à l’Athénée d’Ibanda pour ses études secondaires où il obtint son diplôme d’État en section Commerciale. Ça ne suffit pas, le vaillant Ernest ira à la colline inspirée pour ses études universitaires plus précisément à l’Université Catholique où il n’a fait qu’une année avant d’être orienté à l’UOB, une université Burundaise où il sortira Licencié en Marketing Commercial.
Ce n’est toujours pas fini. Ayant pris le goût de la science, soucieux de la perfection, le jeune Licencié décidera de se rendre en Europe pour bénéficier de plusieurs formations cadrant avec son domaine notamment, celles qu’il avait suivies a ARRAS en France sur la Gestion des Ressources Humaines. Ceci lui confère la capacité d’entreprendre.
Pendant ce temps, il ouvrira lui-même deux entreprises en France. La première dans le domaine de Sécurité et Gardiennage avec 600 employés et la deuxième, dans le secteur de Nettoyage et Entretien des espaces verts avec 300 employés. Ernest Hans est marié et père de famille.
MM.